Jewel J'ai trop de sex-appeal, quand je me regarde parfois je jouis.
Puf : [ « Angie ] Messages : 361 Age : 28 Date d'inscription : 08/03/2011
Libre : Oui. =D
Mon personnage Nom: Jewel. Age: Cinq ans. Relations:
| Sujet: Jewel. Jeu 23 Juin - 20:13 | |
| « Une vie sans Jewel est aussi vide qu'un écrin à bijoux. » Nom: Jewel. Age: 5 yo. Sexe ♀ Famille (seulement si votre cheval à des liens familiaux avec d'autre chevaux du forum): Bac Lucky - Opium - Jalousie - Hell.
Caractère :
- Spoiler:
Avant, Jewel, c'était ça : Jewel est une timide colombe tombée de son nid. Compréhensive, attentionnée, généreuse, courageuse, gentille, la petite boule de poils a pris toutes les qualités de sa remarquable maman. C'est simple. Jewel est un ange incarné. De plus, elle... Nan j'déconne. xD Attendez je rembobine... Voilà, c'est bon. Vous êtes prêts ? C'est parti. « - Je suis une étoile ! Ascendante. Merci au potentiel génétique de mon père ! Mon père c'est l'plus beau de toute façon. C'est pour ça que je suis la plus belle. En plus, il est jamais sale... » On va arrêter le massacre. Egoïste, prétentieuse, orgueilleuse, têtue, sarcastique, fière, menteuse, gourmande, cachotière, infidèle, égo surdimensionné, coquette, lâche, invivable, bavarde, naïve, superficielle, et la liste des défauts est encore longue. Cette pouliche adule, vénère, idôlatre son père et au contraire, clash souvent sa mère. Pauvre d'Opium et Bad Lucky. Et je ne parle pas de son frère, Hell.
La distinction entre le vrai et le faux s'applique aux idées, non aux sentiments. Un sentiment peut être superficiel, il ne sera jamais menteur.
- Ce qu’il y a de bien avec toi Jewel, c’est que tu ne te sens jamais seule. – Pardon ? – Tu te suffit à toi-même, je veux dire… - Ah ? Et t’es qui pour me juger comme ça, je peux savoir ? – TOI, pauvre nouille. Il n’y a que toi qui puisse juger les gens, comme si tu commentais la couleur d’un ciel d’été. Il n’y a que toi pour discuter avec toi-même. – D’où tu te permets de me sortir ça ! Les couleurs, c’est ce qu’il y a de plus important. Là, maintenant, le ciel est bleu, bleu azur, avec quelques moutons dodus couleur neige. – Tutut. Tu me la fais pas à moi. Je suis toi je te rappelle. Tu sais ce qui t’attire autant dans cette infinie palette de couleurs ? – Parce que tu vas pouvoir me le dire ? – Tu aimes la beauté sombre idiote ! – Tu te traites toi-même je te rappelle. – Ben oui tu es assez stupide pour te causer ! Et là aussi, je sais pourquoi… - Je vais t’appeler Conscience Universelle si tu continues ! – Cela reviendrait à t’appeler toi-même Conscience Universelle et cela flatterait drôlement ton égo, tu ne crois pas ? -… Oui, ça me plaît bien, comme surnom. Magnificence aussi, j’trouve ça cool. – Cool ? Te faire des compliments à longueur de journée, tu trouves ça… cool ? Déjà que te parler seulement parce que tu ne trouves pas les autres à la hauteur de tes connaissances, c’est quelque chose, toutefois là tu dépasses les bornes. – Ta gueule conscience.
Cette fameuse conscience avait un semblant d’intelligence, apparemment. Sauf que notre délicate Jewel se faisait un remarquable plaisir de la rembarrer chaque fois qu’il lui était possible. Je ne sais pas si Jewel était foncièrement « mauvaise », puisque sa conscience semblait essayer de la raisonner, seulement c’était ce qu’elle montrait aux autres, ce qu’elle montrait d’elle. Qui peut tenir un masque pendant cinq années ? Qui peut faire croire au monde que l’on est un lapin alors que l’on est un loup ? Je savais que cette jument était doté d’une détermination sans bornes, mais il y avait deux poids deux mesures ! Un sourire de glace fond forcément au soleil, à un moment où à un autre. Alors non, sérieusement, je pense que Jewel n’a pas de façade. Qu’elle joue carte sur tables, gardant certainement quelques jokers dans sa manche, mais montrant son jeu à qui voulait le voir. C’était de là que venait la menace. Quelqu’un qui dit tout, qui ne ment pas à forcément quelque chose à garder. Si l’on pense qu’elle ne ment pas, qu’elle dit constamment la vérité, elle ne pourrait tout simplement pas nous cacher quelque chose… Ou alors Jewel ne cacherait-elle rien ? Etait-elle naïve au point de nous laisser lire en elle comme dans un livre ouvert ? Jewel n’est pas imprévisible, au contraire, elle est tristement discernable. Ses traits de caractères sont extrêmement bien marqués, peut-être trop. Si elle a été menteuse à une époque, elle ne l’est plus. Cachotière, plutôt. Elle saurait garder un secret, oh, bien mieux que vous ne pouvez l’imaginer. Malheureusement elle n’a aucun tabou, et passe trop souvent du coq à l’âne. Elle s’adresse un peu trop souvent la parole au goût des autres, son interlocuteur préféré étant sa propre personne… Eh ouais, quand on a un égo surdimensionné, difficile de passer outre. Cette petite est une boule d’énergie, pouvant, je ne crois pas trop m’avancer en vous le disant, j’en suis certaine, alimenter un soleil en énergie. Bavarde, elle s’égosille souvent à tord & à travers pour dire des choses complètement… inutiles. On ne capte pas souvent le cheminement de ses pensées, mais qu’importe ! Vous subissez sa présence, ce ne sera certainement pas le contraire. Si vous n’entrez pas dans les critères – choisis avec son plus grand soin ! – de la demoiselle, vous pouvez tout de suite dégager. Avec ce côté naïf s’accorde parfaitement un entêtement à toute épreuve. « Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ! » Eh bah j’suis une imbécile connard… Bon ok, elle devenait vulgaire lorsqu’elle se trouvait acculée, lorsqu’on lui faisait des remarques désobligeantes, ou lorsque quelque chose de péjoratif sur sa propre personne remontait à ses oreilles. Notre petite poupée de porcelaine est malheureusement une âme sensible, douce et craintive au fond d’elle même. Je parlerai plus tard d’une certaine jalousie qui avait empoisonné son cœur lorsqu’elle fit une rencontre admirable avec une de ses comparses. Effectivement, cette jalousie était aussi brûlante que le désir de ressembler à cette personne. Je pense que vous savez déjà de qui je veux parler… J’ai déjà cité son nom. Jewel admire Jalousie pour son « je-m’en-foutisme » spectaculaire, et espère un jour pouvoir calquer son comportement sur cette ravissante jument. Toutefois je passerai vite sur cet épisode de sa vie… C’est une toute autre histoire.
L’égoïsme de Jewel n’a d’égal que sa lâcheté. Indubitablement, elle ne pouvait pas être l’un sans l’autre. Aider son prochain ? – Héhéhé. Tu me prends pour qui ? Va te faire voir. » Voilà la réponse que vous aurait donné cette charmante personne. Je ne sais pas si c’est la peur d’aider ou de s’attacher qui contraint Jewel a être aussi… désagréable. Manque t-elle de courage ? C’est ce qui traduirait sa lâcheté. – Mais ta gueule. J’en ai du courage, seulement tu comprends, me tâché pour une pauvre tâche ( haha, quel sens de l’humour, je m’épate moi-même. ), non merci ! » … Ok. J’ai oublié de dire que l’humour n’était pas FORCEMENT le point fort de notre dame. Oui, vous en avez constaté les dégâts. « - Pourquoi tu me regardes comme ça ? J’ai un épi ? – Oui, de blé ! » Bon va te coucher ma vieille ça vaut mieux pour tout le monde. On peut constater un léger sens du sarcasme, peu développé, pourtant omniprésent.
Orgueilleuse, je crois que son cœur est étouffé par cet orgueil qui grandit jour après jour. Elle veut plaire, oh oui, qu’elle souhaite plaire ! Elle fait tout pour que les autres la remarque. Elle essaye de se rendre intéressante, d’être le centre de l’attention. C’est simple, si les discussions ne sont pas portées si elle, elle n’acceptera qu’une seule personne lui vole la vedette. Son célèbre complément, celle qui la complétait, avec qui elle formait un duo de choc. Sa Jalousie. Sinon, pas touche à sa couronne. Nahmaioh. Ah, oui, j’ai oublié de préciser que notre petit joyau était une vraie possessive. Elle déteste partager. Son corps, ok, mais alors ses amis – en fait que Jalousie quoi -, improbable. Notre Jewel est un petit boute-en-train qui ne se laisse pas facilement marcher sur les pieds. « Tu es avec moi, ou contre moi. » Et sérieusement, je ne te conseille pas la seconde solution. Du haut de son petit garrot, elle ne peut pas paraître impressionnante, toutefois je ne te recommande pas de l’énerver. Bin oui, notre Jewel n’est pas une petite jument sans ressources, comme peuvent l’imaginer certains. Elle ne bat peut-être pas des records au niveau quotient intellectuel, seulement notre choupinette est extrêêêêêêêêêêêmement créative, oh que oui. Si vous n’êtes pas touchés par ses dents ou ses sabots, ce sera autre part.
Je pense que j’ai fais le tour. Au pire, si vous voulez vous forgez vous-même une petite idée de cette charmante colombe, autant la rencontrer en personne, ein… Quoi que, ça aussi, je vous le déconseille. Bonne Chance. Histoire :
Nous devrions garder la couleur de la vie, mais ne jamais nous souvenir des détails. Les détails sont toujours vulgaires.
PRELUDE. ou comment se prendre la tête avec un terme aussi simple que « couleur ». Là, maintenant, le ciel est bleu, bleu azur, avec quelques moutons dodus couleur neige… Les couleurs. C’est tout ce qui importe. C’est ce que j’ai vu en premier, et ce que je verrai en dernier. Les gens changent, les choses bougent. Le ciel, la terre, tout se déforme, rien n’est éternel… cet Ouragan de malheur ne fait que renforcer cette idée que je me fais de la vie. Perpétuelles métamorphosent, vers un but ultime. La Mort. Seules les couleurs peuvent m’accompagner dans mon périples. Elles sont là, inébranlables, toujours à mes côtés, infaillibles. Plus indestructibles que des amis, comme des rocs, phares pour un bateau dérivant sans but précis sur un océan aussi sombre que la nuit couleur encre. Elles étaient mes amies, mes confidentes, pire encore. Elles m’avaient insufflée la vie, ainsi qu’elles me la retireraient lorsque le moment serait venu.
CHAPTER ONE. ou comment devenir un GRAND MECHANT PAS BEAU. Mes souvenirs restent assez flous de ma naissance. Et pour cause ! J’ai grandis entre temps. Quelques bribes de conversations, quelques débris d’images colorées, un son, une odeur me rappelant un souvenir effacé. Un songe touchant une corde sensible, une goût qui me fait frétiller. Aujourd’hui, ce ne sont que des petites parcelles de passé qu’il me reste. Je ne sais pas à quelle date précise ma mémoire se débloque, toutefois un flot de données se répandent dans mon organisme à partir d’un moment donné. Un événement, ou je ne sais quoi, mais cela déclenche un mécanisme dans ma boîte crânienne qui fait que je me souviens de tout, ou presque. Cette mignonne famille que nous formions, Moi, Bad Lucky & Opium. Nota Bene : MOI avant Bad Lucky & Opium. Enfin, « mignonne ».. Je ne savais pas si c’était réellement le mot approprié pour certains avis, pourtant c’était le mien. J’étais un vrai petit paquet d’énergie. Je courais partout, rien n’étant trop beau pour mes yeux mirobolants. Je voulais tout découvrir, parcourir le monde à la recherche d’êtres aussi beaux & singuliers que je l’étais. Déjà petite, je rêvais d’aventures, de voyages, de combats… des histoires à raconter, palpitantes, certainement un peu enjolivées pour rentre le tout un peu plus attractifs, mais des anecdotes fraîches et précieuses dans ma mémoire. Des péripéties pas trop salissantes, ni trop intellectuelles… des péripéties tout de même. Je crois que je rêvais de voyages, de connaissances, d’apprentissage, long et régulier. Je voulais gober le monde, avaler tout ce qui tombait dans mes oreilles – souvent trop grandes, me confiant ma mère avant de m’endormir. Tout cela, c’était ce que je désirais, ce que je voulais. Et l’on ne me refuse rien, n’est-ce pas ?
CHAPTER TWO. ou comment trouver des titres de chapitres qui n’ont même pas de rapport avec ce que je raconte après. C’est aux environs de mes trois ans, que je décidai finalement de m’éloigner un peu de mes parents. Je les aimais, rien n’était plus certains, pourtant il me fallait de la liberté. Je voulais trouver d’autres chevaux à côtoyer, m’octroyer un peu de distractions avec quelques juments, et pourquoi pas quelques mâles. Je n’avais jamais rencontré l’amour, et l’amitié m’avait longtemps fait défaut. Tout ça, c’était bien avant que je n’arrive dans ce petit troupeau. Je ne sais même pas si l’on pouvait l’appeler un troupeau, tellement le nombre de membre était petit. Tout ce que je savais, c’était que cette rencontre bouleverserait ma vie, et à jamais. Mon futur serait tout autre que si j’avais décidé de faire ma fière en ignorant ce groupe. Ce qui m’a forcée à m’arrêter, ce qui m’a fait ouvrir les yeux, c’était cette robe, grise, pommelée, singulière. Rares étaient les chevaux aussi beaux, aussi raffinés, aussi fins, aussi souples. Cette personne – que je nommerais de nombreuses lunes plus tard une amie – me donnait envie de la connaître, de la découvrir, voir même de passer du temps avec. Superficielle que je suis, oui je l’avoue. Ce fut un coup de foudre physique, psychique, chimique je dirais. Lorsque nos prunelles se croisèrent, nous avions passé un pacte. La Rouanne & la Pommelée.
Ce groupe me donna plus qu’une famille, plus qu’une troupe. Il me donna une valeur, celle de l’amitié, ainsi qu’une raison de vivre. Cette jument s’appelait Jalousie. J’appris à l’approcher, j’appris à me fondre en elle, comme un moule, comme une parfaite reproduction… En fait, ce n’était pas véritablement ce qu’il se passa. Nous fûmes plus complémentaires qu’autre chose. Elle, raffinée, de bonnes manières, moi vulgaire, jurant comme un charretier. Elle, intouchable, se moquant ostensiblement de l’avis des autres, moi, sensible, les larmes au yeux à chaque pique. Elle était mon contraire, et les opposés s’attiraient. Nous n’étions véritablement unies, parfaites, que par nos robes & nos idéaux. Notre façon de penser et notre physique. Pour ce qui était de nos caractères, j’étais l’Est & elle était l’Ouest. Elle était le Sud j’étais le Nord. Simplement. Je ne sais comment, mais un certain respect commença à émaner des gens, lorsqu’ils nous voyaient. Pour notre physique, ou notre manière de nous venger sur quelqu’un qui nous faisait du mal, je ne pouvais le dire. Pourquoi pas les deux ? Nous étions belles, jeunes, farouches & rebelles. Nous étions deux, deux amies, deux confidentes, deux sœurs, deux étoiles ascendantes d’un ciel de jais, sombre comme l’encre et brun comme le charbon. Je ne savais pas toujours ce que nous étions réellement, en fin de compte, toutefois après ces longues lunes passées aux côtés de Jalousie, je su qu’une vie sans elle ne serait pas une vie heureuse. Je ne l’aimais pas comme un mâle, bien entendu, pire encore, c’était beaucoup plus fort.
CHAPTRE THREE. ou comment vous mettre un titre de merde sans que vous vous en rendiez compte. xD Et puis vint l’Ouragan. Cette puissance, cette harmonie terrifiante était abominable. C’était pire que tout. La nature hurlait, nous priant de nous retirer des terres d’Horse Dream. Je ne sais pas si je vécu une expérience plus traumatisante & effroyable que celle-ci. Souvent, je sentais le sol s’évanouir sur mes sabots, comme s’il n’existait plus. Et je courrais, je continuais de courir pour ma survie, dans le vide, sans rien sous moi. Je me réveillais alors, perdue, dans un champ dévasté, l’encolure maculée de sang. Juste une branche d’arbre qui m’avait percutée. Rien de bien méchant. Nous étions certainement dans l’œil du Cyclone, car il faisait doux. Tout était calme. Seulement autour de moi. Seulement en apparence. Mon cœur battait à cent à l’heure. J’étais terrorisée. « JEALOUSY ! » Un petit surnom amical que je donnais à ma moitié. Le vide me répondit. Pire, le silence. Pas un brin d’herbe ne bougeait. Le vent semblait suspendu dans les airs. Et moi j’entendais mon cœur qui tambourinait, qui essayait de battre un record bon dieu ! Les larmes me montèrent au yeux. J’étais forte. Plus forte que cela. Il fallait que je trouve Jalousie. Ou quelqu’un que je connaissais. Qui pourrait m’expliquer ce qu’il se passait, parce que mon cerveau s’affolait lui aussi… Et soudainement, une autre secousse. Physique:
Une crinière sombre, fouettant le vent, une queue haute, des nœuds se formant au bout des crins. Ils volent au contact de l’air comme l’herbe se couche après une bourrasque. Des crins fins, aussi fin qu’une tige de pâquerette ( ou de marguerite, je n’ai jamais vraiment trouvé la différence ). Une crinière assez courte, dans le genre, mais fluide et douce. Une petit toupet flottant dans le vent, recouvrant mes prunelles brillants de mille feux. Une petite parcelle stellaire à elles seules. Un long chanfrein couvert d’une longue cascade blanche, semblable à une traînée de poudre, de craie écrasée par un écolier en colère. Entre mes deux naseaux, deux gueules béantes sombres, desquelles on s’attendrait presque à voir sortir de écrans de fumée claire, une tâche rose, solitaire, rose pâle, délicat, bucolique. Une encolure douce, grise mouchetée de quelques tâches ambrées. Des courts membres fins et gracieux, noirs pailletés de papillons blancs. Trois petites demi balzanes sur les bout de mes sabots, telles des socquettes. Des ballerines marrons me servant de sabots, et une croupe couleur mordorée, comme si un feu m’avait brûlé le poil. Quelques traces de cette couleur le long de mon ventre. Puf: « Angie, alias TPC ( ton pire cauchemar ) Où avez vous trouvez le forum ?: :O Dans l'cul d'un poney. Des remarques ? Han. Vous saviez que le premier poney que j'ai monté s'appelait Bijou ? Bon il était alezan et était tout gentil tout mignon, mais bon. (a) Preuve du règlement: Okay By Linay.
Dernière édition par Jewel le Sam 25 Juin - 11:04, édité 4 fois | |
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